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Un crime contre l'humanité

Les Russes transforme-t-ils les enfants ukrainiens déportés en soldats d'élite ? C'est une question que tout le monde se pose à l'heure actuelle. Poutine, en mettant en place une politique de "dénazification" à la manière de son prédécesseur Staline, commet un crime contre l'humanité en effectuant une déportation massive des enfants ukrainiens.

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Petite fille ukrainienne au milieu de l'agitation de la guerre

La Cour Pénale Internationale, basée à La Haye, a déposé il y a quelques mois un mandat d'arrêt à l'encontre du président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, ainsi que de la représentante russe pour les droits de l'homme, Maria Lvova Belova. Cette accusation, déposée le 17 mars dernier, est sévère envers ce tyran russe et sa représentante, et pour cause, ils sont tous deux impliqués dans un crime de grande ampleur : la déportation illégale et forcée des enfants ukrainiens.


En effet, selon Vladimir Poutine, des enfants auraient été récupérés sur les territoires occupés d'Ukraine, ce qui est catégoriquement interdit par les Conventions de Genève.

Selon les données officielles de la justice ukrainienne, 20 000 jeunes Ukrainiens auraient été déportés contre la volonté de leurs parents. Cependant, ils affirment n'avoir réussi à faire rentrer que 400 de leurs jeunes citoyens. D'autres analystes estiment que le crime aurait pris des proportions encore plus importantes, avec au moins 700 000 petits Ukrainiens déportés en Russie ces derniers mois. Ils affirment également que les Russes font tout ce qui est en leur pouvoir pour endoctriner ces enfants ukrainiens afin de les utiliser ultérieurement pour contrôler l'Ukraine.


Pour Moscou, ces enlèvements sont qualifiés d'actes caritatifs. À l'aide de sa propagande monstrueuse, notamment à la télévision, Moscou annonce à ses citoyens qu'ils récupèrent ces enfants en raison du danger mortel que représentent les forces armées ukrainiennes pour les populations civiles. Une fois arrivés en Russie, les enfants ukrainiens sont obligés de rejoindre l'armée de la jeunesse russe. Ils leur est interdit de parler leur langue maternelle et ils sont contraints de parler russe. On leur répète à maintes reprises que le conflit en Crimée n'existe pas, que c'est une "création artificielle". Une fois en Russie, les enfants sont placés dans des familles d'accueil ou dans des orphelinats en vue d'adoption. Les parents ont la possibilité de recevoir une aide matérielle et de modifier complètement les informations concernant l'enfant, y compris son nom, son prénom, sa date et son lieu de naissance.

Moscou, en commettant ces actions terribles, vise à faire en sorte que ces enfants, une fois adultes, oublient leur véritable patrie et leur passé en Ukraine, ainsi que leurs parents.


C'est pourquoi les spécialistes du droit international considèrent ce crime comme un crime contre l'humanité, car il présente toutes les caractéristiques d'un acte génocidaire. Cependant, cette accusation n'a rien changé. . Il n’y a rien de nouveau dans la politique national russe. Le Kremlin continue donc de s’inspirer de ses ancêtres, qui avaient cherché à transformer les jeunes générations en robot un capable de réfléchir, et il s’efforce d’effacer la mémoire nationale, des héritiers, des ukrainiens et d’effacer tous passé héroïque.

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